Les acteurs de la solidarité en France

L’État organise la solidarité nationale et collecte les impôts

  • Rôle de l'État : garantir la solidarité nationale par l'impôt et les cotisations sociales.
  • Impôts directs : payés directement par le contribuable (ex. : impôt sur le revenu).
  • Impôts indirects : versés par un intermédiaire (ex. : TVA).
  • Le montant des impôts et des cotisations sociales correspond aux recettes de l’État.
  • Sécurité sociale : financée par les recettes fiscales, elle offre des prestations sociales (allocations familiales, etc.).
  • Services publics : financement de la justice, des hôpitaux, de l’Éducation nationale grâce aux recettes fiscales.

Les collectivités territoriales contribuent à faire vivre la solidarité à l’échelle locale

  • Collectivités territoriales : comprennent les communes, les départements et les régions.
  • Les communes : financent les écoles primaires et les services d'aide (CCAS - Centre communal d'action sociale).
  • Les départements : financent le RSA (Revenu de solidarité active) pour les personnes sans revenus.
  • Les régions : soutiennent la formation des jeunes et entretiennent les infrastructures de transport.

Le monde associatif œuvre en faveur d’une société plus solidaire

  • Nombre d'associations : environ 130 000 en France.
  • Bénévolat, dons et subventions de l’État : nécessaires pour le fonctionnement des associations.

L’engagement des jeunes pour une société plus solidaire

  • Élections au collège : délégués et éco-délégués participent à des projets solidaires.
  • Cadets de la sécurité civile : dès 11 ans, formations pour découvrir les métiers de la sécurité civile.
  • SNU (Service national universel) : pour les jeunes de 15 à 17 ans, séjour de cohésion de 12 jours qui peut être suivi de missions d'intérêt général.